Riding Zone : La passion au coeur du projet d’entreprise
Il est le créateur, producteur et surtout la voix off de l’émission de référence Riding Zone, Jonathan POLITUR est l’invité du podcast Tendance Ride de Mordu. Il nous raconte dans cet épisode son parcours entrepreneurial et surtout l’histoire et l’évolution de Riding Zone.
Jonathan Politur : passionné avant tout
Jonathan né en Guyane française est avant tout un amoureux des sports extrêmes avec lesquels il a grandi et qu’il pratique depuis qu’il est enfant.
Diplômé de l’EFAP, il commence à travailler auprès de plusieurs médias, mais rapidement il ressent l’envie de créer ses propres contenus.
Il crée “Watch us”, une émission dans laquelle il met en avant les jeunes et la culture urbaine. Elle durera 3 ans.
Jonathan Politur
En 2005, avec la création de la société de production Puzzle Media et donc de l’émission Riding Zone, Jonathan souhaite mettre en avant des personnalités de l'extrême qui partagent, selon lui, une vision de la vie et des sports différente de celle des autres sportifs.
L’approche journalistique est simple : ne pas s’intéresser particulièrement aux résultats mais se consacrer aux pratiquants et à leurs histoires.
Riding Zone : Premier sur le sport extrême
Jonathan nous a ensuite expliqué le lien compliqué entre Riding Zone et la télévision, mais aussi le problème du terme “sports extrêmes” et la difficulté pour trouver et garder un diffuseur TV.
En effet, après plusieurs années de diffusion sur France Ô, le media a dû changer de stratégie et solliciter le public pour devenir indépendant.
Riding Zone © enDHuroBike
Aujourd’hui, grâce à cette stratégie de diversification, Riding Zone, c’est une chaîne Youtube à plus d’1 million d’abonnées, un shop en ligne, des réseaux sociaux, un site web, un magazine et une nouvelle plateforme de diffusion indépendante et payante.
Si Jonathan a réussi à construire cela, c’est qu’il est motivé par la passion et qu’il veut répondre aux passions du public avec une offre exhaustive en traitant de tous les sports.
